Le climat au sein de l'équipe dirigée par l'entraîneur-chef Pascal Vincent semble être tendu et teinté de mécontentement, selon ce qui circule.

Les critiques portent principalement sur le style de coaching de Vincent, lequel est décrit comme autoritaire et caractérisé par des décisions controversées.

Une source de frustration semble résider dans les commentaires de Vincent dans les médias, où il aurait publiquement critiqué plusieurs joueurs de son équipe.

Cette approche peut créer un climat de méfiance et de ressentiment au sein de l'équipe, remettant en question la relation entre les joueurs et leur entraîneur.

Des exemples spécifiques sont cités, tels que l'envoi d'Adam Fantilli sur le quatrième trio, faire réchauffer le banc à Johnny Gaudreau durant une période au complet ou envoyer Patrik Laine dans les gradins en début d'année.

Ces décisions, perçues comme punitives, semblent avoir contribué à une atmosphère lourde au sein de l'équipe.

Et voilà qu'il vise son gardien numéro un pour son altercation avec Tom Wilson, l'accusant de tous les maux. (crédit: TVA Sports)

«Le travail de Wilson, c’est de se placer devant le visage des rivaux, celui du gardien, et de créer beaucoup d’émotions. Il y en avait pas mal et il fait le nécessaire... et nous avons réagi."

"Cela nous a coûté le match. Wilson fait cela contre chaque équipe, chaque soir. C’est son boulot et il est l’un des meilleurs pour cela. Nous le savons. Donc, Merzlikins doit contrôler ses émotions. Si ce n’était pas arrivé, nous aurions eu une descente à trois contre deux. À cet instant, nous devons faire mieux. C’est inacceptable.» 

Pascal Vincent a manqué la chance d'une vie de s'imposer en tant qu'entraîneur-chef. Les critiques pointent du doigt ses méthodes de gestion des joueurs et mettent en doute sa capacité à maintenir une cohésion d'équipe, suggérant que son côté dictateur aurait pu briser le moral de ses joueurs.

La prédiction d'un départ imminent de Pascal Vincent, associé à l'expression "LAME DUCK" par Renaud Lavoie, laisse entendre que la situation pourrait se détériorer davantage et que des changements pourraient être à prévoir à la fin de la saison. 

Il semble évident que Vincent va sauter avec le DG  Jarmo Kekalainen l'été prochain. Ça sent le grand ménage à Columbus.

On peut sentir les tensions au sein de l'équipe. Vincent semble incapable d'équilibrer les exigences de performance avec la gestion des personnalités et de ses supervedettes.

Cela nous rappelle les déboires de Dominique Ducharme à Montréal. Incapable de se faire respecter, mais au moins, il ne parlait pas dans le dos de ses joueurs.

Vincent et Ducharme ont une chose en commun: ils n'était, ne sont et ne seront jamais des "vrais" entraîneurs-chefs dans la LNH. Des bon adjoints, voilà tout. Mais la marche est trop haute. 

Si on était Columbus, on lâcherait un coup de fil à Patrick Roy sur-le-champ. Dire que le "ROI" était finaliste avec Mike Babcock pour le poste d'entraîneur-chef. Jarmo Kekalainen a tout gâché. Nommer Babcock aura mené au scandale des photos (Babcock avait demandé à chaque joueur de lui laisser leurs téléphones pour voir leurs photos et les juger par la suite). Puis, Pascal Vincent a reçu la promotion en panique, alors qu'il n'était aucunement prêt à tenir ce poste.

Si Patrick Roy avait été nommé cet été, Jarmo Kekalainen aurait sauvé son emploi. Là, il est certain de se retrouver au chômage...et Pascal Vincent va aussi prendre la porte de sortie l'été prochain.

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