Le récit des récents échecs des Sénateurs d'Ottawa avec Jacques Martin derrière le banc, dépeint un tableau de désolation et d'incompétence.

Coach en chef depuis deux matchs, Martin n'a pas encore compris que dans la LNH moderne, tu ne peux pas t'asseoir sur une avance.

À chaque fois qu'ils mènent, les Sens semblent incapables de maintenir son avantage, dégringolant invariablement vers la défaite.

Les choix tactiques de Martin, ordonnant ses joueurs à adopter une approche défensive lorsque le vent leur est favorable, semblent être une invitation ouverte à la catastrophe.

L'embauche de Jacques Martin apparaît comme une erreur stratégique, transformant chaque match en un exercice d'auto-sabotage. Les résultats parlent d'eux-mêmes : une avance de 3-1 en 3e période transformée en une défaite de 4-3 en Arizona, suivi d'un autre effondrement choquant alors que les Sénateurs laissent filer un avantage de 4-2 pour finalement perdre 4-3 face à l'Avalanche du Colorado hier soir.

Les Sénateurs tentaient de jouer la trappe, mais ont pris tellement de pénalité tellement ils étaient passifs que le Colorado les a fait payer.

Dans cette triste saga, Patrick Roy, l'homme au tempérament volcanique, apparaît comme le sauveur ignoré. Sa passion débordante et son refus d'accepter la défaite pourraient être exactement ce dont une équipe comme les Sénateurs a besoin.

On peut imaginer Roy fracassant des portes et brisant des bâtons de hockey dans la chambre, invitant ses joueurs à attaquer sans relâche plutôt que de se replier dans une stratégie frileuse.

Les regrets se transforment en exaspération alors que l'on considère que Roy aurait pu transformer cette équipe talentueuse en une machine de hockey redoutable.

Pendant que Martin offre des explications monotones qui endorment les supporters pour expliquer les défaite...

Patrick Roy, le visionnaire ignoré, se contente d'observer le désastre avec du pop-corn sur les genoux, comme s'il assistait à un mauvais film de série B le samedi saoir.

Oui, le fait d'ignorer Patrick Roy encore et encore se dessine comme une parodie de mauvais film, avec Martin dans le rôle de l'entraîneur dépassé et Roy dans celui du héros consatmment igoré.

Reste à voir si les Sénateurs prendront acte de cette mise en scène catastrophique et si des changements significatifs seront apportés cet été pour éviter que le désastre ne devienne la norme.

Selon ce qui circule, Patrick Roy serait encore ignoré, cette fois au profit de Jon Gruden, un entraîneur de la ligue américaine et ancien défenseur des Sénateurs.

Jon qui?

Le mauvais film va recommencer pour Patrick Roy...

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