On se demande comment se sent la femme de Martin St-Louis.

Les déclarations de l'entraîneur-chef du CH doivent mal passer chez la gente féminine de Montréal. Résidant à distance au Connecticut la majeure partie de l'année, elle devait s'attendre à plus de romantisme de la part de son mari.

Lorsqu'il exprime le choix de passer son dernier jour sur Terre au Centre Bell un samedi soir au Centre Bell, on ne peut s'empêcher de se demander comment elle réagit en entendant de telles paroles.

Vivre à distance pendant la majeure partie de l'année est déjà un défi en soi, mais apprendre que son mari préférerait vivre un moment "passionné" au milieu d'une foule survoltée au Centre Bell plutôt que de partager un moment intime avec elle, ne peut pas être facile à accepter.

Chaque femme voyant que son homme opterait pour un match de hockey avant un dîner romantique créerait de la "frustration féminine".

Biensûr, St-Louis voulait encore s'attirer du "capital sympathie" chez les Québécois, en mettant en valeur les partisans du CH. Mais on se dit que la femme de Martin St-Louis se trouve souvent dans une position délicate, hésitant entre l'admiration pour la passion de son mari et le désir d'être la priorité ultime dans sa vie.

La vie de couple est souvent un équilibre délicat entre les passions individuelles et les passions "collective", ou plutôt, les priorité de couple.

La déclaration de Martin St-Louis montre bien les couples dans la LNH qui doivent jongler avec un calendrier de fou , le temps passé à l'extérieur de la maison et surtout le manque de temps pour le couple en tant que tal.

Vivre son dernier jour sur terre au Centre Bell plutôt qu'avec sa femme peut sembler dure pour "Madame St-Louis".

Nos pensées sont avec elle...

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