Entre Cole Caufield avec son contrat de 8 ans et 7,85 M$ par année...et Pierre-Luc Dubois avec son contrat de 8 ans et 8,5 M$ par année...lequel est le plus indésirable?

Notre réponse est sans équivoque: on prend Cole Caufield 1000 ans avant Pierre-Luc Dubois.

Nos raisons sont nombreuses: Caufield est le coéquipier ultime. Il ne boude pas. Il ne parle pas dans le dos des autres. Il ne fait pas la "baboune", même quand il est en léthargie.

Il est content pour l'équipe et pour les autres quand les autres marquent. Il ne va jamais manipuler son équipe ou ses dirigeants pour forcer une transaction. Oui Caufield a des difficultés en ce moment, mais on ne pourra jamais lui enlever son énergie positive et l'entrain qu'il apporte à ses coéquipiers.

Surtout, Caufield se donne à chaque match. Ce n'est pas un manque d'effort. Mais lâchez-nous les excuses comme quoi il est incommodé par son épaule.

Il est à cent pour cent. Il montre ses limites au niveau de son unidimensionnalité, voilà tout. Mais niveau effort...tant sur la glace qu'au gym...rien à dire...

Pierre-Luc Dubois est tout le contraire. Sa réputation peu enviable de joueur lâche est vraie à cent pour cent. Les médias de Los Angeles et ses coéquipiers sont en train de le réaliser: Dubois joue un match sur quatre. 

Certains de ses coéquipiers dans le vestiaire des Kings se seraient déjà plaints sur son manque d'effort. Parions qu'Anze Kopitar a eu une discussion avec lui. 

Si vous ajoutez que Dubois a forcé des transactions à deux reprises (Columbus, Winnipeg), qu'il était détesté chez des coéquipiers de Jets et qu'il a un passé qui prouve à quel point il peut devenir nonchalant sur une glace, et bien on dit bonne chance aux Kings qui vonr regretter pendant longtemps son contrat.

Caufield a marqué 5 maigres buts et 10 passes pour 15 points en 19 matchs (différentiel de 0)

Dubois a marqué 5 maigres buts et amassé 4 maigres passes pour 9 maigres points en 17 matchs. Son différentiel de -2 dans une puissance offsensive comme les Kings veut tout dire.

Peu importe leurs statistiques du passé, du présent ou du futur, on prend Caufield dans notre équipe 1000 ans avant Dubois.

Parlant des Kings, Phil Danault et Pierre-Luc Dubois ont patiné comme jamais quand est venu le temps d'expliquer leurs sentiments face à ces deux matchs préparatoires qui auront lieu à Québec.

Pauvres gars. Danault bégayait pratiquement des excuses. Décidément, ce projet pourra être surnommé "les deux matchs de la honte..."

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