- TVA Sports et Michel Bergeron...
- Doivent arrêter de vivre dans le passé...
«J’étais l’entraîneur des Nordiques depuis sept ans. Ça faisait aussi sept ans que je travaillais avec Maurice Fillion. Il savait que New York était intéressé par mes services. Joe Bucchino, l’assistant de Phil Esposito (alors DG des Rangers), venait souvent me voir. À un moment donné, Maurice m’a demandé si je parlais sérieusement avec New York."
«Maurice Fillion, c’était la bonté même. C’était comme un deuxième père pour moi. Alors je lui ai répondu qu’effectivement, j’avais commencé à discuter avec les Rangers. Il m’a répondu qu’il avait déjà entamé des discussions avec Esposito, et qu’il était ouvert à compléter une transaction m’impliquant. Quelques jours plus tard, j’étais échangé et je signais une entente de trois saisons avec les Rangers.»
"J'aurai finalement «coaché» New York pendant deux campagnes. Enfin, presque. Alors qu’il ne restait que deux petites parties à disputer à la saison 1988-1989, ma deuxième en sol new yorkais, je me suis fait montrer la porte par Esposito. Encore aujourd’hui, Bergeron avoue qu’il ne comprend pas cette décision."
«La raison principale, je ne l’ai jamais sue. Moi, je pense que c’est parce que Phil voulait diriger. C’était lui le patron, alors je n’avais pas grand-chose à dire. Mais ça m’a fait mal au cœur d’être remercié de cette façon.»
«Quelques jours plus tard, toutes les grosses vedettes des Rangers sont venues frapper à ma porte pour me démontrer leur soutien. Guy Lafleur, Bryan Leetch, Chris Nilan... C’était irréel.»
- ZZZZZZZZZZZZ...
- HAS BEEN...