« Tout a commencé vraiment quand je suis allé faire un trip d’ayahuasca... » 

- Le fils de Patrick Roy, Jonathan, nous donne une idée comment aider Jonathan Drouin.

- Jonathan Roy a changé sa vie avec cette plante d’Amazonie aux vertus hallucinogènes. Ce fut le point de départ de ses créations musicales...sur le fait de lancer sa carrière en musique...le fait...d'être mieux dans sa peau...

Je ne dis pas à tout le monde d’aller faire ça; je vous exprime mon expérience, pour vous ouvrir les yeux sur d’autres options pour aider. Des options qui ne sont peut-être pas aussi conventionnelles, mais à un moment donné, est-ce qu’on peut sortir à l’extérieur un peu et voir d’autres alternatives? 

« Je n’y vais pas vraiment en détails parce que c’est personnel pour moi, mais ça m’a aidé beaucoup. Je suis quelqu’un qui aime les expériences, qui aime apprendre sur lui-même et évoluer. C’est une expérience que j’avais besoin de vivre. Ce n’est évidemment pas pour tout le monde, et il y a d’autres façons de comprendre des choses sur soi-même, mais moi j’ai pris cette façon-là. »

- En faisant un TRIP d'AYAHUASCA, Jonatnan Drouin se rendrait compte sûrement...que le hockey ne le rend pas heureux..

- Ou que la LNH ne le rend pas heureux...

- Cela pourrait régler ses problèmes d'anxiété...

- Cela pourrait lui montrer une nouvelle avenue...

- Cela pourrait lui donner le courage...de changer sa vie...

- Comme le fils de Patrick Roy a fait quand il a annoncé à son père...qu'il lâchait le hockey pour la musique...

« J’étais un petit peu gêné. Je ne voulais pas que mon père soit déçu que je ne joue pas au hockey. »

« À 13 ans, ma mère avait vu que j’aimais la musique et elle m’avait acheté un petit piano avec une guitare et une batterie. J’avais commencé à prendre des cours. Finalement, le hockey a pris beaucoup de place et j’aimais vraiment ça. J’étais passionné de hockey. Mon père était mon idole. Ce que je ressentais quand j’allais à l’aréna pour voir ses matchs était indescriptible. J’avais le goût de vivre ce qu’il vivait. »

« J’ai dit : p’pa, je veux faire de la musique. Il m’a regardé et a dit : “T’es malade, man, tu retournes à l’école”. Autant sa première réaction a été de trouver ça fou que je m’en aille là-dedans, autant vers la fin de la discussion, il a dit : je vais te laisser aller, tant que tu es heureux, kid, c’est ça qui est important. »

- Mais comme Jonathan Drouin, qui devait être confronté à ses attents IRRÉALISTES lorsqu'il fut repêché par le Lightning au 3e rang au total, le fils de Patrick Roy était confronté...au succès de son père..

« Je l’ai vu faire des choses tellement extraordinaires au cours de sa carrière que je me suis dit : crisse, c’est ça qu’il faut que je fasse, réussir à faire ce que lui a fait. »

« Je me souviens d’avoir eu une discussion avec Shania Twain et Corey Hart, aux Bahamas. Je ne me souviens plus du chiffre, mais elle me disait qu’une personne sur peut-être 10 millions réussit dans la musique. Alors, juste en vivre bien, c’est déjà un succès incroyable. Tant que tu as un toit sur la tête, que tu peux manger et bien dormir... »

- Jonathan Drouin est déjè RICHE comme CRÉSUS..

- Il doit maintenant trouver sa voie pour être SEREIN dans sa tête.

- Est-ce que le hockey le rend heureux?

- Le jour où il va pouvoir répondre à cette question, son ANXIÉTÉ diminuera...

- Comme Jonathan Roy quand il a eu le courage d'affronter son père..

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