Si Patrick Roy avait été derrière le banc des Sénateurs hier, il aurait cassé tous les bâtons du vestiaire.

L'intensité et la passion du "Roi" n'aurait jamais accepté cette séquence honteuse. Il n'aurait jamais toléré cette paresse  de joueurs clés tels que Brady Tkachuk et Vladimir Tarasenko.

L'aura de Patrick Roy sur la glace et derrière le banc étaient synonyme d'effort inlassable et d'un engagement total envers la victoire. Sa mentalité compétitive était contagieuse, et il ne laissait aucune place à la complaisance. Devant ce comportement de Tkachuk (le capitaine) et Tarasenko, Roy aurait réagi avec une indignation bien connue de ceux qui ont eu le privilège de le connaître en tant que joueur et entraîneur.

Dans l'univers compétitif de la LNH, l'attitude des joueurs est aussi importante que leur talent. La détermination, le dévouement et la volonté de gagner sont des valeurs que Roy a toujours défendues avec ferveur. Ainsi, l'indifférence de Tkachuk et Tarasenko aurait été une offense directe à l'éthique du jeu telle que prônée par Roy.

Si Patrick Roy était à la barre des Sénateurs, le vestiaire ne serait pas le théâtre d'une telle paresse. Roy aurait brisé tous les bâtons du vestiaire en signe de protestation contre ce relâchement inacceptable. Sa colère aurait été synonyme d'un réveil brutal, rappelant aux joueurs que l'opportunité de jouer dans la LNH est un privilège qui exige un engagement total.

Les Sénateurs attendent quoi pour envoyer DJ Smith au chômage? La chambre des Sénateurs a abandonné son coach, et quelque chose doit être fait à Ottawa pour inverser cette tendance décevante.

Un changement est inévitable pour relancer cette équipe et recréer une culture de victoire.

La situation actuelle des Sénateurs d'Ottawa est une véritable honte, et Patrick Roy n'aurait jamais toléré une telle apathie de la part de ses joueurs.

Les Sens ont besoin de son autorité pour restaurer la fierté et l'excellence qui ont autrefois caractérisé les Sénateurs.

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