- Oh non...

- Le cauchemar de Kent Hughes va arriver plus vite que prévu...

- Logan Cooley va bientôt signer son contrat d'entrée avec les Coyotes de l'Arizona..

- Au lieu de retourner à l'Université du Minnesota..

- Hughes pensait que Cooley allait arriver dans la LNH dans deux ans.

- Il ne savait pas que Cooley allait humilier Juraj Slafkovsky dès cette saison.

- OUCH...

- Rappelons que Kent Hughes voulait Cooley à la place de Slafkovsky.

- Et Nick Bobrov, avec un SPEECH ENFLAMMÉ, a convaincu Hughes d'oublier Cooley.

- Le DG du CH avait expliqué sa décision en affirmant que Cooley n'arriverait dans la LNH que dans 3 ans alors que SLAF était prêt à jouer dans le show dès maintenant.

- Aie, aie, aie...

- Il n'a pas eu la même chance qu'avec Matvei Michkov.

- Qui devrait RIDICULISER David Reinbacher et Hughes dans 3 ans.

- Cooley pourra mettre Slafkovsky dans sa petit poche dès cette saison.

- ATTABOY..

- Kent Hughes a CHAUD...très CHAUD...

- Espérons que le Slaf 2.0 arrive en FEU.

- Car le petit Colley a plus d'un tour dans son sac!

- À suivre...

- En rappel: le SPEECH de Bobrov qui a convaincu Hughes de REJETER Cooley pour prendre Slafkovsky...

«D’être au Championnat du monde à l’âge de 16 ans est un exploit sans précédent. Personne n’a fait ça avant. Pas même dans les années 80 ou 70. Et évidemment, ce qu’il a fait cette année dans le cadre des gros événements est juste extrêmement impressionnant. 

«Il a juste la personnalité pour être celui qui souhaite prendre le taureau par les cornes, mener son équipe. Il veut être l’homme de la situation. Je parlais récemment à des gens l’ayant côtoyé au Jeux olympiques et le message qui en est ressorti, c’est qu’il avait cette capacité à rendre meilleurs tous les trios sur lesquels il évoluait. Il a débuté sur la quatrième unité et s’est retrouvé sur la première, parce que certains gars n’étaient pas prêts à jouer, mais lui oui. La même chose s’est produite aux Championnats du monde.»

«Son désir de faire la différence, c’est plus qu’une simple habileté hockey. C’est un trait de personnalité. Pour moi, il a prouvé ces derniers temps que ses belles performances pouvaient être répétées régulièrement. 

«Chez lui, en Slovaquie, un pays de plus de cinq millions d’habitants, on ne parle que de lui depuis quatre ans. Imaginez la pression qu’il a eue sur lui. Ses performances de la dernière année sont la preuve ultime qu’il pourra gérer les attentes et le stress.» 

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