Francis Bouillon n’est pas seulement un ancien joueur des Canadiens de Montréal, mais aussi un mentor passionné qui veille au développement des jeunes espoirs de l’organisation.
Depuis qu’il a pris en charge ce rôle en 2015, il a guidé de nombreux jeunes joueurs avec une main ferme mais bienveillante, et Joshua Roy ne fait pas exception.
Toutefois, pour Roy, l’expérience d’avoir Bouillon comme mentor n’a pas toujours été un long fleuve tranquille.
Le talent de Joshua Roy est indéniable, et personne ne remet en question ses capacités sur la glace.
Cependant, comme beaucoup de jeunes joueurs, il a dû faire face à des défis qui allaient au-delà du hockey.
L’un des principaux obstacles pour Roy a été de maintenir une discipline de vie qui corresponde aux exigences d’une carrière professionnelle.
Entre les tentations du nightlife montréalais et les habitudes alimentaires peu recommandables, Roy a eu besoin d’une sérieuse mise au point.
C’est là que Francis Bouillon est intervenu, jouant un rôle crucial dans la réorientation de Roy.
Bouillon, qui a lui-même connu les hauts et les bas d’une carrière dans la LNH, a su reconnaître les signes d’un joueur talentueux mais qui risquait de s’éloigner de ses priorités.
Il n’a pas hésité à remettre Joshua à l’ordre, en l’encourageant à adopter une hygiène de vie plus saine et en lui montrant que le succès sur la glace passe par des choix judicieux en dehors de celle-ci.
Ce moment de vérité, bien que difficile pour Roy, s’est avéré essentiel pour son développement.
Au-delà de son rôle de mentor sur la glace, Francis Bouillon incarne aussi la leçon ultime sur l’équilibre de vie.
Son investissement dans la pourvoirie Québec Azimut en est le parfait exemple.
Située à une soixantaine de kilomètres au nord de La Tuque, cette pourvoirie est un véritable havre de paix en pleine nature.
Avec ses neuf chalets, une auberge, et une vingtaine de lacs, cet endroit s’étend sur un territoire exclusif de 100 kilomètres carrés.
Là-bas, Bouillon montre l’importance de se ressourcer loin du chaos urbain, entouré de la nature, de sa famille et d’amis proches.
En devenant copropriétaire de cette pourvoirie, Bouillon a réussi à concilier travail et passion, mais surtout, il prouve qu’il est possible de vivre pleinement tout en restant fidèle à des valeurs saines et authentiques.
Pour Joshua Roy, c’est une autre leçon à retenir : réussir dans la vie ne se résume pas seulement à exceller dans son domaine professionnel, mais aussi à savoir apprécier les plaisirs simples, loin des distractions et des excès de la ville.
Francis Bouillon, à 48 ans, continue de démontrer que le succès n’est pas uniquement défini par les accomplissements professionnels, mais aussi par la manière dont on choisit de vivre sa vie.
Joshua Roy, en tant que jeune joueur en pleine ascension, ferait bien de prendre note.
À travers l’exemple de son mentor, il peut voir que le véritable succès réside dans l’équilibre, la discipline, et la capacité à savourer les choses qui comptent vraiment.
Vraiment, c’est ça la vie mon Francis.
Amen !