- Imagine si Nick Suzuki était Québécois....
- Il se ferait DÉCHIRER dans les médias....
- Mais là...
- Il est CHOUCHOUTÉ...par tout le monde...
- Son coach....les journalistes....lui-même...tout le monde...
«Je veux bien jouer, je veux être bon sur 200 pieds. La production n’est pas là dernièrement. J’ai toutefois eu des chances à mes derniers matchs. J’ai manqué un but ouvert au dernier match à Ottawa [fin de 2e période]. Je dois garder ma confiance.
«Je ne suis pas inquiet. Je fabrique encore des jeux, je décoche des tirs, mais ça ne roule pas comme je le souhaite. J’aurais probablement besoin d’obtenir une deuxième passe sur un but juste pour changer un peu le rythme. Je ne veux pas tricher simplement pour obtenir des statistiques offensives.»
«On parle de Suzie [Suzuki], mais je suis content de son progrès. C’est un jeune joueur qui avait bien des choses sur ses épaules cette année. Premièrement, il est notre capitaine. Deuxièmement, nous vivons avec plusieurs blessés au sein de l’équipe." affirme Martin St-Louis...
"Troisièmement, il joue contre les meilleurs trios et il obtient de grosses minutes avec des présences en supériorité numérique et en infériorité numérique. Il a beaucoup de responsabilités. Il traversera cette saison et il en sortira comme un meilleur joueur.»
«C’est une adaptation quand tu ne joues plus avec les mêmes joueurs, a rappelé St-Louis. Suzie est intelligent et il a assez de talent pour savoir comment naviguer avec ça. Je ne suis pas inquiet.»