Wow...le père de Jakub Dobes...est intense....et fait de l'insomnie...

"Mon père n'a jamais raté un seul de mes matchs dans sa vie. Nous avons une relation fusionnelle. Il prend tellement mon avenir  et mon présent à coeur. Il est très superstitieux, comme moi. Avant chaque match, je pratique un rituel et lui-aussi. Il est très nerveux pendant mes matchs. Encore plus que moi"

"Nous avons eu une conversation après ma défaite vendredi (6-3 contre les recrues des Sabres). Il était 5 heures du matin pour lui. Il n'était pas content et je le comprends. On menait 2-1 et je ne peux pas accorder deux buts en trois minutes. Je dois avoir de bons débuts et de bonnes fins de période. Mais c’est correct, c’était juste un match ».

"Quand il es ttrop tard, je lui dis d'aller se coucher, sinon ma mère va le chicaner (rires).

Zdenek Dobes est donc l'un de ces pères intenses. Espérons qu'il ne devienne tout simplement pas envahissant comme le père d'Alex Galchenyuk. On dirait que la relation est plus saine.

Rappelez-vous. Le père de Galchenyuk le textait entre les périodes de ses matchs et lui disait de l'écouter lui et non pas écouter les entraîneurs.

Cela ne semble pas du tout le cas du père de Dobes. Le père de Galchenyuk lui disait qu'il était le meilleur et qu'il devait regarder ses coéquipiers de haut.

Le père de Dobes lui dit absolument le contraire

"J'ai joué tous les matchs ou presque l'an passé à l'université d'Ohio State. En tout, j'ai passé 64 minutes sur le banc en 40 matchs. Mon père me dit de me préparer à partager le filet"

Dobes comprend la situation. Avec Casey DeSmith qui n'est toujours pas échangé...

Cayden Primeau qui devra passer par le ballottage, mais personne ne sait s'il sera réclamé.

Ça fait du monde à la messe. Mais Dobes est mieux élevé que Galchenyuk...et surtout..son père est un homme qui a le coeur sur la main.

« En arrivant à Laval la saison dernière, on m'a mis sur le banc. C'est différent d'encourager au lieu de jouer, mais c'est la vie. Nous sommes une famille et on doit s'entraider ensemble, peu importe qui joue".

Bref...

Ne vous inquiétez pas. Le père de Dobes est un insomniaque. Mais un insomniaque bien élevé.

Et plus on regarde Dobes jouer. Ses habiletés, son gabarit, son calme, son attitude. 

On comprend un peu plus pourquoi Kent Hughes a refusé d'envoyer son 5e choix au total à Nashville pour Yaroslav Askarov et le 15e choix au total.

On comprend mieux pourquoi le DG du CH n'a pas offert un pont d'or à Samuel Montembeault.

Car il voit en Dobes le possible héritier de Carey Price.

À suivre...

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