Bob Hartley rajoute de l'huile sur le feu.
Sur les ondes de RDS, le coach affirme que dans la ligue américaine, lorsqu'un joueur est rappelé avant un autre qui le mérite plus, ça crée de la grogne dans le vestiaire.
Hartley rajoute ensuite qu'il ne comprend pas comment Joshua Roy n'a pas encore été rappelé.
Aie, aie, aie. Selon Bob, Roy sur le premier trio du CH avec Suzuki et Caufield est un "no-brainer". C'est pour ça qu'on aime Hartley. Il n'a pas peur de dire ses opinions, même si cela écorche l'organisation.
Toutefois, on nous dit que Roy garde la meilleure attitude possible à Laval. Il n'est pas en colère. Certes, il a été déçu quand Armia a été rappelé à sa place, mais cela doit le consoler de voir qu'Armia ne fait que réchauffer le banc des gradins à Montréal.
Ce qui serait logique, ce serait de renvoyer Juraj Slafkovsky à Laval et rappeler Joshua Roy. Comme ça, Martin St-Louis pourrait oser faire avec Roy ce qu'il n'ose pas du tout avec Slafkovsky: le placer sur le 1er trio et sur la première unité d'avantage numérique.
Cela permettrait alors de ne plus avoir Josh Anderson et son "HOCKEY IQ déficient" sur la première unité de l'attaque à cinq ou sur le premier trio.
Cela va permettre aussi de ne plus avoir le plombier Harvey-Pinard sur le 1er trio. Et enfin, on ne va plus s'inquiéter de voir Slafkovsky jouer à peine 13 minutes par match et s'enliser comme un véritable flop.
En ce moment, Slafkovsky marche sur des sables mouvants. Il a besoin de jouer près de 20 minutes par match, d'avoir des vrais minutes d'avantage numérique sur la 1ère unité, de devenir un joueur dominant dans une ligue qui n'est pas trop difficile pour lui. Il a besoin de respirer. Il a besoin de ravoir du plaisir en jouant au hockey.
L'échange Roy-Slafkovsky Montréal-Laval est l'équation la plus logique au moment où l'on se parle.
Nous sommes d'accord avec Bob Hartley à 100 pour cent.