L'influenceuse qui a inventé être en couple avec Logan Mailloux.
Menace un journaliste du Journal de Montréal de le poursuivre pour diffamation.
Vanessa Cossi n'a pas accepté le papier de Jean-Nicolas Blanchet qui affirme noir sur blanc qu'elle est coupable d'harcèlement envers le défenseur du CH.
Voici ses propos:
"Je me demande: on dirait quoi si Vanessa était un homme? Imaginez qu’il s’agissait plutôt de Jason-Mikaël. Qu’il était un ancien d’Occupation double. Qu’il était extrêmement populaire au Québec, notamment, en montrant ses pectoraux et son engin dans des vidéos xx. Imaginez que ce Jason-Mikaël commençait à dire sur les réseaux sociaux qu’il voulait «défoncer» une jeune athlète québécoise. Imaginez que Jason-Mikaël commençait, même si c’est à la blague, à faire semblant qu’il est en train de coucher avec Leylah Annie Fernandez. Imaginez s’il faisait des vidéos, couché dans son lit, en train de parler de ses fantasmes sur la jeune athlète de 21 ans."
Le journaliste a raison. Si elle était un homme, on l'accuserait de harcèlement et elle pourrait être dénoncé au tribunal.
Les gestes de cette influenceuse, pour ne pas dire cette modèle d'Only Fans, sont graves. Surtout considérant le passé judiciaire de Logan Mailloux.
Le défenseur ne demande qu'avancer vers le chemin de son rétablissement dans la vie. De voir cette demoiselle l'utiliser pour se faire du capital public et augmenter ses recettes sur Only Fans est innacceptable.
Nous sommes d'accord avec 100 pour cent avec le journaliste. Ce n'est pas lui qui devrait se faire poursuivre par Vanessa Cossi. C'est plutôt Logan Mailloux qui devrait la poursuivre elle.
Le fait qu'elle se plaigne ensuite que les méchants médias la maltraitent est ridicule.
Qu'elle menace ensuite le journaliste de poursuites judiciaires est une digne d'une mauvaise blague.
Jean-Nicolas Blanchet a eu du courage de la dénoncer dans son article. Il ne voulait pas lui faire de la publicité, mais il voulait simplement défendre Logan Mailloux.
Le défenseur veut juste atteindre une tranquillité d'esprit. Marc Bergevin a ignoré le fait qu'il ne voulait pas être repêché après avoir été reconnu coupable en Suède d'avoir partagé une photo de sa conquête en brassière sur les réseaux sociaux. Il ne voulait pas être sélectionné. Il n'a rien demandé. Bergevin l'a repêché quand même et depuis, Mailloux a été exemplaire.
De voir un journaliste avoir le courage de le protéger est digne de mention. Et Vanessa Cossi peut aller se coucher avec ses menaces bidon de poursuites judiciaires.