Dans les couloirs sombres du vestiaire des Islanders au Met Life Stadium régnait une atmosphère pesante, chargée de déception et de tristesse.
La cruelle défaite face aux Rangers lors du match extérieur avait laissé des traces profondes dans les esprits des joueurs, les plongeant dans un trou profond de déprime qui faisait peine à voir.
Pendant ce match crucial, les Islanders, en pleine course pour les séries, avaient pris les devants avec une avance confortable de 4-1, puis de 5-3, semblant se diriger vers une victoire éclatante.
— hockey images that precede unfortunate events (@UnfortunateHKY) February 18, 2024
Mais encore une fois, comme beaucoup trop souvent cette année, ce n'était qu'une illusion de réussite. Les Islanders ne sont tout simplement pas capables d'écouler des pénalités, ni de garder des avances.
On pouvait sentir l'amertume dans la chambre, alors que les Rangers ont renversé a vapeur pour finalement s'imposer 6-5 en prolongation. C'était un coup dur, un véritable coup de massue pour une équipe qui devait gagner ce match.
Les entrevues des joueurs après le match diffusaient un sentiment de désespoir évident, comme si le ciel s'était écroulé sur leur tête. Brock Nelson, en particulier, semblait à terre mentalement.
This is a very deep sigh from Brock #Isles pic.twitter.com/dnzOhRD8f1
— 𝐈𝐬𝐥𝐞𝐬 𝐅𝐢𝐱 (@IslesFix) February 19, 2024
Leurs visages défaits et leurs mots teintés de frustration trahissaient le poids écrasant de cette défaite inattendue. Chacun tentait de trouver des réponses, des explications à ce revirement cruel du destin, mais les réponses semblaient insaisissables.
Patrick Roy s'efforçait de maintenir un semblant de positivité lors de la conférence de presse, soulignant que son équipe avait dominé les Rangers à 5 contre 5.
With the way today's game ended, Patrick Roy was asked if the team loses confidence in those types of circumstances:
— Islanders Videos (@SNY_Islanders) February 19, 2024
"As a coach, cause I'm not a player, I feel good about our game. Yes those penalties at the end hurt us, but we did a lot of good things." pic.twitter.com/CDTzMzSG77
Il pointait du doigt les décisions des arbitres, clamant que le match leur avait été volé. Mais même ses paroles, remplies d'optimisme forcé, ne parvenaient pas à dissiper l'atmosphère lourde qui régnait dans la chambre des Islanders.
Dans ce contexte de déprime totale, Patrick Roy devra trouver les mots justes pour relancer son équipe, pour raviver la flamme de l'espoir et de la détermination qui ont été ébranlés par cette défaite dévastatrice.
Car au-delà des tactiques et des stratégies que "le Roi" tente de mettre en place, c'est l'unité, la résilience et la foi de jouers meilleurs qui vont permettre aux Islanders de surmonter cette épreuve et de se relever plus forts que jamais.
En attendant, certains sur les réseaux sociaux critiquent le positivsme forcé de Patrick Roy. Mais le coach en chef n'a pas le choix. Il a enguirlandé ses joueurs toute la semaine, à coup d'entraînements punitifs.
Il doit devenir un peu plus "soft" et les caresser dans le sens du poil aujourd'hui. Sinon, son équipe va s'effondrer pour de vrai.
La lune de miel est terminée entre Patrick Roy et Long Island. Cela n'a pas été long...