La descente aux enfers de Joshua Roy s'est poursuivie ce soir et suscite des inquiétudes de plus en plus grandissantes au sein de la communauté sportive montréalaise, alors que le jeune talent du Rocket traverse une "série" horrible de huit matchs consécutifs sans point et affiche un inquiétant différentiel de -15 au cours de cette séquence désastreuse.

Sur la glace, Roy, autrefois considéré comme l'un des espoirs qui avaient le plus de chances de se faire rappeler par le CH, semble méconnaissable. Tant mentalement que physiquement.

Les médias et les partisans notent une lourdeur dans sa manière de patiner, lui qui semble en surpoids évident. Souvent, on le voit fatigué sur la glace. Ses difficultés sont facilement repérables tellement il est lent dans tous les sens du terme. Lent à réagir, lent à patiner, lent à prendre ses décisions.

Les problèmes de Roy ne se limitent pas seulement à la glace et au hockey. Des sources bien informées parmi les journalistes couvrant les activités du Rocket affirment que le jeune joueur néglige son bien-être en dehors de la glace.

Mauvaise alimentation, gestion inadéquate de son temps libre, il semble que le Québécois ne donne pas la priorité à son entraînement hors glace, ce qui expliquerait son manque d'endurance cardiovasculaire sur la patinoire. En d'autres mots, il tourne les coins ronds au gym.

La pression est de plus en plus lourde et il semble que le dossier est devenu une patate trop chaude pour l'entraîneur-chef Jean-François Houle, qui ne semble pas savoir comme gérer ce dossier difficile.

Il serait temps que Kent Hughes intervienne et lâche un coup de fil au Québécois. 

Avant que la situation en dégénère encore plus. Il y a lieu de se demander si le DG du CH ne commence pas à songer à changer d'entraîneur-chef à Laval.

Disons que nos espoirs ne semblent pas être entre bonnes mains.

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