Martin St-Louis a du culot: il vient d'éteindre Georges Laraque complètement.

En réinsérant Michael Pezzetta dans l'alignement au profit de Joel Armia, Martin St-Louis s'éleva comme un phénix au-dessus des critiques de Georges Laraque.

Après que Laraque décida de jeter des flammes sur la décision controversée de St-Louis de renvoyer Arber Xhekaj à Laval.

Après que Laraque ait critiqué St-Louis pour avoir soi-disant détruit mentalement Arber Xhekaj en l'enguirlandant après un match car il avait trouvé le défenseur trop agressif.

Après que Laraque ait affirmé haut et fort que St-Louis avait dénaturé Xhekaj et que l'entraîneur-chef n'aimait tout simplement pas la robustesse au sein de son équipe.

St-Louis écarta toutes les critiques...avec une seule décision...en remettant Pezzetta sur la glace...

Au lieu de se replier face aux critiques acerbes de Laraque, St-Louis démontre un culot étonnant en réintégrant Pezzetta dans l'alignement.

Cette décision audacieuse semblait être une riposte directe aux insinuations de Laraque, envoyant un message fort et clair. St-Louis envoie le message qu'il n'a aucunement l'intention de compromettre l'identité robuste de son équipe et si Xhekaj est à Laval, c'est que son niveau n'est pas digne de la LNH.

St-Louis refuse les accusations comme quoi il a dénaturé complètement Xhekaj en exigeant de lui qu'il joue moins agressivement.

Selon Laraque, cette approche aurait bousillé la robustesse de l'équipe. Ses critiques affirmaient que St-Louis était trop "soft", sacrifiant la ténacité et l'aspect physique de son équipe au profit d'une approche plus douce, plus axée sur le talent et la finesse.

En réinsérant Pezzetta, St-Louis envoie un message implicite à Laraque : si Xhekaj est en bas, ce n'est pas parce qu'il ne croit pas au concept de robustesse dans la LNH. Au contraire, il semble croire en la capacité de Pezzetta à apporter une dose de robustesse nécessaire à l'équipe.

Cette décision pouvait être interprétée comme un acte de défiance envers les critiques de Laraque, soulignant que St-Louis était le maître à bord et qu'il prenait des décisions en fonction de sa propre vision du jeu.

La robustesse de l'équipe peut être préservée sans Xhekaj, surtout que Jayden Struble assène des coups d'épaule durant tout le match!

En défiant ouvertement les critiques de Laraque, St-Louis réaffirme sa conviction en sa capacité à diriger l'équipe selon ses propres principes, et non selon les opinions extérieures.

Un geste audacieux, une décision culottée...L'entraîneur va suivre son propre chemin pour atteindre le succès.

Peu importe ce qu'en pense Laraque. 

Ouch...

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