Ça recommence. Cela devait arriver un jour ou l'autre. Comme toujours...Pierre-Luc Dubois commence à bouder.

Le Québécois montre déjà des signes évidents d'impatience et de frustration, et les journaliste de Los Angeles l'ont bien remarqué.

Sur le banc, il lève fréquemment les yeux au ciel, exprimant ainsi son mécontentement face à son temps de glace souvent limité à moins de 14 minutes par match.

Ce qui alimente davantage les spéculations sur son malaise, c'est son exclusion de la première unité d'avantage numérique.

Dubois, dont le salaire faramineux de 8,5 millions de dollars pour les huit prochaines saisons donne mal au coeur, semble clairement contrarié de ne pas occuper un rôle plus important au sein de l'équipe.

Les journalistes de Los Angeles ont commencé à noter un changement d'attitude chez Dubois. Ils ont remarqué qu'il se traîne souvent les patins sur la glace, laissant transparaître son insatisfaction quant à son rôle actuel en tant que troisième centre aux côtés d'Arthur Kaliyev et Alex Laferrière.

Comme à Columbus...

Comme à Winnipeg...

Le message subtil mais clair qu'il envoie à travers son attitude suggère qu'il n'est pas content de sa place dans l'alignement.

Le joueur québécois, dont la réputation a été écorchée lors de ses départs précipités de Columbus et de Winnipeg, est maintenant confronté à une situation délicate avec les Kings.

Contrairement à Columbus ou Winnipeg il ne peut plus exiger un échange. Les huit ans restants de son contrat et le et son salaire faramineux le rendront bientôt inéchangeable.

Il est évident que le DG Rob Blake a des maux de tête en ce moment, ayant investi massivement dans un joueur qui montre déjà des signes de mécontentement.

La réussite des Kings dans leur objectif de remporter la Coupe Stanley repose en partie sur la capacité de Dubois à surmonter ces frustrations et à s'adapter à son rôle actuel.

Sinon, ça va commencer à puer sous le chaud soleil de la Californie. 

Dubois est peut-être la plus grande princesse capricieuse de l'histoire de la LNH.

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