- Rob Ramage et Francis Bouillon...

- "Les POURRIS" du DÉVELOPPEMENT..

- Seront-ils CONGÉDIÉS?

- Il semble que NON pour l'instant...

- Et la MEILLEURE FAÇON de se PROTÉGER..

- Viser Trevor Timmins....

- Ramage l'a compris...

«Francis Bouillon et moi avons eu nos premières rencontres avec Kent et Jeff la semaine dernière. Oui, l’enjeu du développement a été adressé. Depuis leur arrivée, Kent et Jeff tentent de cerner un peu tout le monde: le personnel à Montréal, à Laval, mais aussi le profil de nos différents espoirs. Je vais te dire une chose : tout le monde veut progresser au sein de l’équipe." affirme Ramage.

«Mais quand les gens parlent de "développement", ils doivent réaliser que ce simple terme couvre un immense secteur. Nous repêchons des joueurs, puis nous les accompagnons du jour un de leur association avec nous jusqu’à leurs débuts avec les Canadiens. Sauf qu’il y a aussi du développement qui se fait du côté de Laval, qui a son propre personnel d’entraîneurs. L’équipe en place là-bas peut de surcroît aider nos jeunes joueurs sur une base quotidienne, car elle les côtoie chaque jour.» 

«Je ne montrerai pas à Cole Caufield comment lancer une rondelle. M’as-tu déjà vu tenter un tir? C’est davantage Cole qui m’enseignera! Nick Suzuki a une vision du jeu incroyable. J’ai dirigé Josh Anderson lorsqu’il jouait chez les Knights de London. Est-ce que j’ai eu un impact sur l’un de ces joueurs? Si oui, il est minimal. MI-NI-MAL!»

«Nous avons plusieurs choix lors de cet encan. Francis et moi sommes prêts. Amenez-nous des joueurs! Mais amenez-nous de bons joueurs! Et nous vous les transformerons en futurs Canadiens. Notre approche sera basée sur une relation de qualité avec les espoirs choisis. Nous aimons avoir de nombreuses discussions avec nos jeunes joueurs, quel que ce soit l’endroit où ils évoluent. De cette façon, ils peuvent adapter leur jeu en continu selon nos observations.»     

«Jake Evans est un joueur dont je suis extrêmement fier. Un choix de septième ronde qui parvient à se tailler un poste régulier, c’est très impressionnant! Je me souviens qu’à l’époque où j’étais recruteur pour les Blues de St. Louis, l’équipe m’avait envoyé couvrir un match des Buzzers de St. Michael’s. J’étais là pour épier un autre joueur, mais Evans, qui avait 16 ans à l’époque, m’est tombé dans l’œil. 

«Je ne l’ai jamais oublié par la suite et j’étais très content de le retrouver quelques années plus tard. Il a un super parcours et pour moi, c’est l’exemple parfait à suivre pour les jeunes qui se soucient de leur rang de repêchage. Ne jamais dire "jamais". Mettez les efforts, restez positif et ne doutez pas. Vous ne savez jamais ce qui vous attend vraiment.» 

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