Martin St-Louis avait averti ses joueurs: la condition physique est une priorité absolue en vacances. Les joueurs du Canadien de Montréal ont suivi les directives de leur coach à la lettre.

Même lorsqu'ils sont confrontés aux tentations des tout-inclus du Sud. Malgré l'accès illimité à la nourriture et à l'alcool, les joueurs du CH sont demeurés résolument responsables de leur santé.

Dans ce monde où l'alcool coule à flots, l'ombre de St-Louis, avec sa sagesse, veille à ce que ses joueurs prennent soin de leur corps.

Plutôt que de les encourager à se laisser aller, il insiste sur l'importance de maintenir une forme physique optimale, conscient que chaque once de négligence peut peser lourd sur la glace. Michel Therrien s'inquiétait pour rien.

Pourtant, dans un scénario alternatif, on aurait pu imaginer un conseil différent de la part de St-Louis. Après tout, dans la quête du prodige ultime comme Macklin Celebrini, une débauche sans retenue aurait pu sembler le moyen le plus direct pour avoir le plus de chance de sélectionner la perle rare.

Pendant ce temps, un joueur comme Christian Dvorak incarne une facette différente de la culture du party. Blessé jusqu'à la fin de l'année, il trouve refuge dans les célébrations et les festivités du sud et même à Montréal dès son retour, en l'honneur de sa fête hier.

Son attitude festive et son amour pour les soirées sont bien connus dans l'équipe, lui valant parfois quelques blagues de ses coéquipiers. Mais malgré ses excès, Cole Caufield a été tranquille hier.

Dans cet équilibre entre la responsabilité et la tentation, entre la santé et la fête, il est clair que chaque joueur du Canadien de Montréal doit trouver sa propre voie.

Et tandis que certains optent pour la prudence et la rigueur, d'autres sont tentés par les plaisirs éphémères de la vie nocturne.

Le plus sage d'entre tous est Samuel Montembeault. Le seul être humain au monde capable de perdre du bois dans un tout-inclus. Chapeau Monty!

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