Les Québécois sont synonymes de joueurs surpayés cette année..
Le monde de la LNH est souvent le théâtre de débats passionnés sur les salaires des joueurs, et la question des Québécois ne fait pas exception.
Certains affirment que les joueurs québécois sont parmi les mieux payés, voire surpayés, de la ligue en 2023-2024. Parmi les exemples les plus cités, le contrat de Jonathan Huberdeau est en train d'enflammer le web.
Assurément le joueur le plus surpayé de toute la LNH.
Huberdeau, avec son impressionnant contrat de 8 ans et 10,5 millions de dollars, est pointé du doigt comme le pire contrat de l'histoire du hockey.
Avec raison...
Le Québécois est déjà "fini" et son entente vient de commencer. Catastrophique...
Le montant est excessif, l'attaquant ne s'entraîne plus et prend du poids à vue d'oeil...c'est un véritable désastre humain et financier.
De même, Kris Letang, avec son contrat de six and et 6,1 millions de dollars, et Pierre-Luc Dubois, avec son contrat de 8,5 millions de dollars annuels étalés sur 8 ans, sont également cités comme des exemples de joueurs québécois dont le salaire peut sembler disproportionné par rapport à leurs performances sur la glace.
Dubois se retrouve au 2e rang des joueurs les plus surpayés de la LNH, juste derrière Huberdeau. Letang peut relaxer. Il ne se retrouve pas dans le TOP 5 des joueurs les plus surpayés. Mais dans le TOP 10 assurément.
Cependant, il y a des lueurs d'espoir du côté de Jonathan Drouin, dont le contrat de 33 millions de dollars sur 6 ans est désormais terminé. Drouin ne reçoit plus que 825 000 $ cette année. Son contrat initial accordé par Marc Bergevin était l'un des plus excessifs au vu de ses performances, mais cette année, Drouin représente un bel investissement à rabais.
Un cas intéressant à considérer est celui de Phil Danault, dont le salaire de 5,5 millions de dollars par année sur 6 ans a surpris bon nombre d'observateurs lorsqu'il a signé avec les Kings. Connu principalement pour ses compétences défensives, Danault a démontré qu'il pouvait également être un atout offensif, méritant ainsi son salaire.
Nous devons avouer que nous étions persuadés que les Kings l'avaient surpayé. Ti-Phil nous a fait mentir sur toute la ligne.
Dans un monde où les attentes envers les joueurs qui reçoivent un gros salaire peuvent être élevées en raison de la pression médiatique et des attentes des partisans, il est crucial de prendre en compte divers facteurs pour évaluer la justesse des salaires.
Le talent, la constance des performances, le rôle au sein de l'équipe, et d'autres facteurs peuvent influencer la perception de la rémunération des joueurs.
Par exemple, Dubois se traîne déjà les patins et se retrouve 3e centre des Kings. Comment justifier son salaire alors?
Brendan Gallagher est l'un des joueurs les plus surpayés de la LNH. Mais au moins, il se présente à chaque soir et donne tout ce qu'il a dans le ventre.
Il faudrait que Dubois et Huberdeau prennent des notes. Si seulement ils avaient le dixième du coeur de Gallagher.
Pour ce qui est de Letang, le problème n'est pas sa volonté. Il est simplement trop vieux pour justifer son faramineux contrat de 6 ans et 6,1 M$ par année.