Excitation et espoir à Québec.

Alors que la capitale provinciale est de retour dans les discussions pour une équipe d'expansion avec Atlanta, Salt Lake City et Houston, Patrice Bergeron affirme qu'il est prêt à devenir actionnaire minoritaire des Nordiques.

Après tout, l'ancien capitaine des Bruins a la ville de Québec tatouée sur le coeur. Celui qui a grandi à l’Ancienne-Lorette serait l'ambassadeur parfait pour les Nordiques et permettrait même à Pierre-Karl Péladeau d'arranger sa réputation face à Gary Bettman.

Il ne s'attendait pas à recevoir une question sur les Nordiques, surtout pas de la part d'un journaliste de Boston.

Sa réponse fait déjà jaser partout à Québec.

«Oh mon Dieu! J'était certain que vous alliez me poser une question sur une ligue de bière ou une ligue caritative. Ceci est plus sérieux" (rires)

"Quand j'était enfant, j'étais le plus grand fan des Nordiques de Québec. Cette équipe m'a marqué à vie, pas seulement moi, mais mon frère et mes amis aussi. J'espère de tout coeur que les Nordiques reviennent un jour. Je le désire de tout coeur pour la ville, la province, pour les jeunes et les moins jeunes."

"Je suis certain que c'est un excellent marché pour le hockey. Évidemment, je serais ouvert à aider le retour d'une équipe à Nordique, peu importe la façon".

Une chose est certaine. Il a l'argent pour devenir propriétaire minoritaire. Bergeron a amassé plus de 96 M$ dans la LNH. Pierre-Karl Péladeau l'accueillerait les bras ouvert pour qu'il devienne partenaire et ambassadeur. 

Begeron a tellement bonne réputation à travers la LNH qu'il serait un "boost" incroyable pour le momentum envoyant une équipe à Québec.

Il a tous les atouts pour devenir la face de la franchise:

- Il déteste le Canadien de Montréal depuis toujours. En tant qu'enfant, en tant qu'adolescent et en tant qu'adulte.

- Il a été capitaine des Bruins, les pires ennemis du CH.

- Il est nouveau retraité et à la recherche d'un nouveau projet.

Wow...C'est écrit dans le ciel. Patrice Bergeron, le dernier espoir des Nordiques?

À suivre...

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