Joshua Roy et Sean Farell sont les Nick Suzuki-Cole Caufield de Laval.

Les deux joueurs sont tout simplement en feu quand ils jouent ensemble. Le duo n'est tout simplement pas arrêtable au moment où l'on se parle.

Encore aujourd'hui, Roy et Farrell se sont amusés comme des petits fous. On dirait qu'ils jouent à un jeu vidéo. Les passes incroyables, la chimie entre les deux, la symbiose qui règne entre les deux, on dirait qu'ils font de la chorégraphie sur glace.

Le fait de jouer avec Roy a sauvé Farell. Le petit attaquant avait un début de carrière très difficile dans le hockey professionnel et maintenant, on peut le sentir tout feu tout flamme. Il faut donner crédit à l'entraîneur-chef du Rocket, Jean-François Houle, pour avoir eu l'idée de réunir les deux hommes. Ils sont devenus l'un des meilleurs duo de la ligue américaine.

À se demander si les deux pourraient finir par être réunis sur le même trio dans la LNH. Alors que l'avenir de Roy est quasiment assuré à Montréal (tout le monde sait qu'il fera l'équipe la saison prochaine), rien n'est moins sûr pour Sean Farrell. À 5 pieds 9 et 175 livres tout mouillés, il y a lieu de se demander s'il n'est pas trop petit pour percer un jour l'alignement du CH.

Même que certains pensent que Farrell pourrait être transigé un jour ou l'autre par Kent Hughes. Mais le voir débloquer aux côtés de Roy doit donner des idées au DG du CH...et à Martin St-Louis.

Une chimie entre deux joueurs, ça n'a pas de prix. Les deux se complètement à merveille. C'est beau à voir. 

Sinon, Logan Mailloux commence aussi à se dégêner. Le fait que son entraîneur-chef, Jean François Houle, a arrêté de le viser publiquement à qui mieux mieux, fait du bien au défenseur. On le voit de plus en plus à l'aise quand il lance des offensives en zone adversaire. La prochaine étape est de la faire jouer sur la 1ère unité d'avantage numérique tout le temps.

Du gros potentiel offensif à Laval. Il suffit de laisser les jeunes faire leurs erreurs et de ne pas les punir à tout bout de champ. Jean-François Houle est averti. Il est ici pour développer, pas détruire. La ligne est mince parfois.

À suivre...

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